Découverte du problème :

Recherche des causes :

Mise en chantier, examen des panneaux, dépose et repose des couvre-joints, contrôle de la souche de cheminée.

Contrôle et examen de la gouttière.

L’eau passe par la soudure cassée et tombe sur l’entablement. Ce n’est pas ce défaut qui provoque l’infiltration dans l’appartement. La soudure sera tout de même réparée.

Nous continuons la recherche de fuite :

Dépose des panneaux situés dans la zone concernée, examen des agrafures, contrôle de l’étanchéité en jonction avec les couvre-joints. RAS, les jonctions et les reliefs ne sont pas encrassés.

Suite à la dépose du panneau où est située la sortie en toiture de la ventilation des chutes, nous constatons un grave défaut :

Ce défaut occasionne une condensation qui se produit sous le panneau de zinc. L’eau ruisselle sous le panneau de zinc et vient buter en fin de course en partie basse contre la sablière pour s’infiltrer du coté de l’appartement.

Travaux de réparation de la fuite

Découverte du problème :

Recherche des causes :

– Accès au 3^ème étage.
– Examen des lieux, contrôle.
– Nous trouvons des zones sinistrées présentant des taux d’humidité très variés.
– Les taux arrivent par endroits à plus de 60 % tout comme 0% sur certaines zones dégradées.
– Des travaux avaient été effectués précédemment au niveau de la plomberie privative située dans la gaine technique.
– En effet, une recherche de fuite a été entreprise et une reprise de plomberie avait été réalisée.
– A la suite de cette intervention, les cloisons sont en train de sécher. Il s’agit d’une humidité résiduelle.

– Accès à l’étage suivant, examen des lieux, constat.
– Nous trouvons un appartement parfaitement sec où la gaine technique ne présente aucune humidité, aucune condensation.
– A partir de ces éléments, nous pouvons déterminer que le dégât des eaux se manifestant dans le 1^er appartement n’a aucun lien avec les dégâts qui se sont produits au 3^ème étage. Le 2^ème étage étant parfaitement sec une déduction logique en découle.
– Un examen approfondi avec sondage de l’appartement sinistré s’impose.
– Exécution d’un sondage en partie haute de la gaine technique pour examen de la colonne montante en pénétration du plancher haute 1^er/2^ème étage.

– L’humidité sur les cloisons va en décroissant vers le haut.
– Examen de la salle de bains située derrière la gaine technique.
– Ouverture de la trappe de visite située en tablier de baignoire et constat :

• Nous trouvons un dessous de baignoire très humide avec des auréoles d’humidité sur le sol en béton.
• Contrôle des canalisations d’alimentation et d’évacuation.
• Aucune fuite sur ces éléments. Nous relevons cependant des traces de coulures sur le trop plein de la baignoire avec des traces suspectes au niveau du siphon de la baignoire.

– Essais d’eau par aspersion effectué sur le revêtement murale et la petite paillasse située en périphérie de la baignoire.
– A la suite de cette épreuve, nous constatons un défaut d’étanchéité situé sur la paillasse.
– Nous constatons qu’un joint relativement récent (moins de 12 mois a été posé en jonction de la baignoire et de la paillasse. Cette opération a réduit fortement les infiltrations mais ne les a pas supprimées en totalité.

Conclusion de l’expertise

– L’appartement a subi une humidité provenant d’un défaut d’étanchéité situé sur la baignoire au niveau de la paillasse.
– Le trop-plein ainsi que le siphon qui seront à vérifier avec au minimum une réfection des joints ont vraisemblablement apporté également de l’humidité.
– L’eau en tombant sur le plancher béton n’a pu que remonter par les cloisons et s’infiltrer en s’étalant (plancher étanche).
– Ces fuites qui ne sont pas violentes occasionnent une infiltration lente en se rependant sur le plancher pour passer sous le parquet et remonter par les cloisons. Il est à noter que la jonction baignoire et paillasse devait laisser passer beaucoup d’eau avant d’être traitée avec le silicone blanc.
– Nous rappelons que la baignoire n’est pas encastrée sur toute sa longueur. Son installation n’a pas été effectuée dans les règles de l’art.
– Pour conclure, les dégâts sont d’ordre privatif et les parties communes sont hors de causes à ce jour.

Nous sommes équipé de matériels de pointe pour pouvoir effectuer la recherche de fuites en minimisant au maximum les travaux de démolition. Ainsi des détecteurs d’humidité, des caméras pouvant explorer les canalisations, des détecteurs de métaux et d’autres outils nous permettent d’élaborer un diagnostique précis et rapide.

Ci-dessous quelques uns de nos appareils :